Depuis 1992, la journée du 03 décembre a été dédiée par les nations unis aux personnes victime d’handicap. Elle vise à porter un regard sur les conditions de vie et de travail de cette couche. En Guinée, l’association des personnes victimes d’handicap a mis à profit cette journée pour réclamer l’amélioration de leurs conditions de vie et dénoncé les mots dont elle souffre.
Les personnes à moitié réduite se sont donné rendez-vous au rond de Hamdallaye pour célébrer la journée internationale des personnes handicapées. Elles étaient munies des pancartes sur les lesquelles on peut lire leurs besoins fondamentaux comme la santé, au logement, aux infrastructures. Pour le président de l’union des handicapés de Guinée, cette journée est célébrée dans les conditions difficiles.
Pour le secrétaire général de l’union des handicapés de Kaloum, cette journée est une occasion de plaidoirie à endroits des autorités pour l’amélioration de leur condition de vie. C’est pourquoi d’ailleurs, il invite les autorités à mettre en place une politique pour diminuer la stigmatisation des personne à moitié réduite.
Selon les Nations unis, l’inclusion du handicap est un aspect essentiel du respect des droits humains, du développement durable, de la paix et de la sécurité. Cette inclusion est essentielle à la promesse inscrite dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030, à savoir ne laisser personne de côté. L’engagement pour la réalisation des droits des personnes handicapées n’est pas seulement une question de justice mais un investissement dans notre avenir commun.