« Orangez le monde : mettre fin dès maintenant à la violence à l’égard des femmes » est le thème retenu cette année à l’occasion de la journée internationale basée sur le genre, célébrée le 25 novembre de chaque année. En Guinée, des activistes et défenseurs des droits de l’homme ont mis à profit cette journée pour parler des problématiques liées à ce phénomène. Le cas de M’Mah Sylla décédée suite à un viol collectif de la part des médecins était aussi l’un sujet débattu.
Le 25 novembre de chaque année marque la Journée internationale de l’élimination de toute forme de violences basées sur le genre. Pour cette année, des activistes de la société civile ont profité pour faire le point sur les avancées liées aux violences basées sur le genre.
Parler de bilan des activités faites sur le terrain dans le cadre de la lutte contre les violences basées sur le genre, cette activiste revient sur quelques avancées.
Le dossier de M’Mah Sylla, décédée le 20 novembre dernier des suites de viol à Tunis n’est pas resté dans les oubliettes. Moussa Yéro Bah rappelle qu’il faut dénoncer cette situation et faire en sorte que justice soit faite pour dame M’Mah Sylla.
L’Office de Protection du Genre, de l’Enfance et Mœurs (OPROGEM) a dévoilé ses statistiques sur les cas de viol et d’autres pratiques assimilées aux VBG (violences basées sur le genre) recensés sur l’ensemble du territoire guinéen au courant de l’année 2020. Au total, 374 cas ont été enregistrés dans les 33 préfectures y compris la zone spéciale de Conakry.